Comment surmonter la baisse de désir dans une relation longue, après les enfants et la routine ?
Après l’arrivée des enfants, le quotidien, la fatigue et la routine pèsent sur le couple. Une baisse de désir peut s’installer, parfois vécue comme une baisse de libido ou un manque de désir sexuel. Cela peut sembler inquiétant, mais il est possible de retrouver une intimité épanouie.
Retrouver le désir ne signifie pas revenir à la passion des débuts, mais plutôt réinventer une intimité adaptée à la vie actuelle. Cela demande de l’attention, de la patience et parfois quelques ajustements dans la manière de se relier à l’autre.
Quand un couple est en “friend zone”, c’est quand même un couple qui va bien
Un couple où l’on est à l’aise, complice, où règne l’amitié… c’est merveilleux. La sécurité affective, l’empathie, la confiance, les projets à deux : c’est le socle sur lequel se construit une vie commune riche et sereine. Mais parfois, on s’aperçoit qu’on a peut-être négligé un autre aspect du couple — celui du corps, du plaisir partagé, du désir. Pourquoi laisser de côté ce pan de la relation ?
La diminution du désir sexuel ne signifie pas absence d’amour. Elle signale simplement un besoin de rééquilibrer les différentes dimensions de la vie de couple : la tendresse, la complicité, mais aussi l’intimité physique.
Les bénéfices du sexe avec son partenaire
Le sexe dans un couple ne se limite pas à l’orgasme. Il nourrit :
la connexion émotionnelle : un moment partagé où l’on se sent désiré·e et aimé·e,
la complicité : rire, jeu, regard, caresse,
la détente et la régulation du stress : libération d’endorphines,
la sécurité affective : renforcer le sentiment d’être désiré·e et proche de l’autre.
D’un point de vue scientifique, des études montrent que la sexualité régulière améliore le bien-être général et la satisfaction conjugale. Par exemple, une enquête menée aux États-Unis révèle que les couples sexuellement actifs au moins une fois par semaine déclarent être plus heureux que les autres. Une régularité qui contribue à limiter la baisse de libido et à maintenir la complicité.
Comprendre la dynamique du désir
La baisse de désir féminin ne s’explique pas uniquement par une perte d’attirance. Le désir sexuel de la femme n’est pas toujours spontané : il est souvent responsif, c’est-à-dire qu’il peut apparaître après des stimulations affectives ou physiques, même sans envie initiale. Cela signifie que si vous attendez que le désir « tombe du ciel », il risque de ne pas venir. Mais si vous créez un climat propice (tendresse, détente, intimité), il a plus de chances de se réveiller.
Chez l’homme, le fonctionnement est souvent plus direct. Les déclencheurs fréquents sont :
des stimuli visuels ou érotiques,
une ambiance ou un environnement sensuel,
un toucher direct, une caresse, une proximité physique.
Chez la femme, le désir est souvent réactif : il apparaît en réponse à l’intimité, à la connexion émotionnelle, à la détente et aux stimulations sensorielles — visuelles, tactiles ou auditives. Comprendre ce mécanisme est essentiel pour éviter de confondre manque de désir sexuel et absence d’amour.
Après les enfants : pourquoi le désir change
Après la naissance, plusieurs facteurs se cumulent. La fatigue est l’un des premiers : le sommeil est souvent compromis, surtout pour les femmes, ce qui impacte directement le désir. Les modifications hormonales post-partum entraînent aussi une baisse de libido : c’est un mécanisme naturel, pour que la femme priorise son bébé et ne prenne pas le risque d’une grossesse alors que son enfant a encore besoin d’être allaité.
Peu à peu, le désir se transforme en attachement : sécurisant, chaleureux, mais parfois moins érotique. Ce changement peut renforcer la complicité mais il augmente aussi le risque de tomber dans une « friend zone conjugale » — une relation pleine de tendresse, mais avec une diminution du désir sexuel et moins de pulsion physique.
Recréer du désir amoureux au quotidien
Dans les premières années, tout était découverte. Après dix ou quinze ans, il est fréquent de constater une baisse de désir si rien n’est nourri. Pour raviver l’intimité, vous pouvez :
découvrir une activité ensemble (danse, sport, cuisine…),
revisiter vos débuts (photos, musiques, lieux marquants),
explorer votre langage d’amour (mots, gestes, temps partagé, services, cadeaux) afin que chacun se sente vraiment aimé.
Ces gestes ne sont pas accessoires : ils réactivent des émotions positives et renforcent l’envie de se retrouver. Il faut bloquer dans votre emploi du temps des moments à deux, tout aussi importants qu’une réunion ou qu’un rendez-vous médical — voire plus, puisqu’il s’agit de la personne que vous aimez et de l’équilibre de votre famille.
Favoriser l’intimité émotionnelle
Un climat de tensions, de reproches ou de manque de communication bloque le désir. La baisse de libido est souvent la conséquence d’un éloignement affectif. Travailler la qualité du lien est donc essentiel : écoute, gratitude quotidienne, dialogue bienveillant.
Renseignez-vous sur la communication non violente (CNV), par exemple, et/ou commencez une thérapie de couple avec moi pour vous reconnecter.
Plus vous vous sentez proches affectivement, plus il est facile de contrer la baisse de désir sexuel et de laisser renaître l’intimité érotique.

Comment « retrouver » une fréquence de rapports « deux fois par semaine »
Beaucoup de couples se demandent quelle est la fréquence « normale » des rapports sexuels. L’idéal de « deux fois par semaine » revient souvent dans les conversations, mais il est important de rappeler qu’il ne s’agit pas d’une règle universelle. Chaque couple a son propre rythme, influencé par l’histoire, la santé, le stress, le temps disponible et les priorités du moment.
Une baisse de désir ou une baisse de libido ne veut pas dire que quelque chose ne va pas dans votre couple. Elle indique simplement que la sexualité doit être réadaptée au contexte de vie actuel.
L’essentiel n’est pas de suivre une norme extérieure, mais de trouver une fréquence qui convienne réellement aux deux partenaires. Parler franchement de vos envies — sans reproche ni pression — est la première étape.
Mieux vaut un rapport par mois où les deux partenaires partagent un plaisir authentique, physique et émotionnel, que deux rapports par semaine vécus dans la contrainte ou le stress.
Redéfinir vos attentes
La sexualité n’est pas une performance, mais une rencontre. La régularité ne garantit pas l’épanouissement si elle est vidée de sens ou vécue comme une obligation. Redéfinir vos attentes signifie accepter que votre désir fluctue au fil du temps, et que ces fluctuations sont normales.
Une diminution du désir sexuel n’est pas forcément un problème, tant qu’elle est comprise et discutée dans le couple. Plutôt que de chercher à « atteindre un chiffre », cherchez à créer des moments où vous vous sentez désirés, connectés et libres. Cela vous aidera à développer une sexualité qui correspond à votre couple et non à une statistique.
Planifier sans rigidité
Cela peut sembler peu romantique, mais prévoir un moment d’intimité aide à contourner la fatigue et les imprévus. Planifier ne signifie pas « obligation », mais créer un espace privilégié où chacun sait qu’il pourra se rendre disponible.
Quelques exemples concrets :
choisir un soir fixe dans la semaine, une fois que les enfants sont couchés ;
profiter d’un matin de week-end plus calme ;
prévoir une baby-sitter pour organiser une véritable soirée à deux.
La planification crée de l’anticipation… et donc du désir, ce qui contribue à éviter le manque de désir sexuel.
Des sexothérapeutes confirment cette idée. Amanda Pasciucco, Ph.D., explique que planifier du temps intime renforce le lien et rappelle la priorité du couple. Rachel Wright souligne que cette anticipation agit comme un « préliminaire mental », recréant la tension excitante des débuts. Enfin, Annabelle Knight note que cette approche réduit la pression de performance : savoir que le moment viendra permet de relâcher les attentes et de savourer davantage l’instant.
Favoriser la détente avant l’acte
Beaucoup de couples n’arrivent pas à se connecter sexuellement parce qu’ils passent directement de la vie quotidienne — stress, travail, enfants — à la chambre à coucher. Or, le corps a besoin d’une transition.
Créer un sas de détente aide à passer du rôle de parent ou de professionnel à celui d’amant·e. Quelques idées simples :
prendre une douche ensemble,
se masser,
écouter de la musique,
partager un moment tendre avant d’aller plus loin.
Certains gestes peuvent aussi redevenir aphrodisiaques dans un couple de longue date :
revisiter des souvenirs communs (photos, musiques, lieux),
introduire un petit jeu de séduction,
changer de lieu ou d’ambiance (salon, douche, extérieur),
envoyer un message séduisant ou complice dans la journée,
installer une atmosphère douce avec lumière tamisée, musique ou parfum.
Privilégier la qualité sur la performance
Il n’est pas nécessaire que chaque rencontre soit spectaculaire. Le plus important est de maintenir une certaine régularité, même si parfois c’est plus tendre que passionné.
Avec le temps, le corps et l’esprit s’habituent à se retrouver, ce qui rend le désir plus spontané et naturel. La fréquence s’installe alors progressivement, sans contrainte, et permet de réduire le risque de baisse de désir durable.

Les blocages fréquents — et comment y faire face
Il est normal de rencontrer des obstacles quand on cherche à réactiver le désir. Certains couples se heurtent à des résistances intérieures ou à des malentendus. Ces situations peuvent renforcer la sensation de baisse de désir, mais les identifier permet déjà de mieux les dépasser.
« J’ai la flemme, je suis trop fatigué·e… ou j’ai peur du rejet. »
La tristesse peut surgir si l’autre se sent non désiré. Pourtant, il est essentiel de rappeler que chacun a toujours le droit de ne pas avoir envie. Refuser ne doit pas signifier un rejet définitif. Une astuce consiste à remercier l’autre d’avoir exprimé son envie et à rassurer : « Ce n’est que partie remise. » Ainsi, on évite la blessure, on entretient l’amour et on multiplie les occasions futures.Trop de pensées.
Beaucoup de personnes sont « dans leur tête » au moment de l’intimité, ruminant le quotidien ou leurs insécurités. Ce trop-plein mental accentue parfois la diminution du désir sexuel. Or, le désir est un état corporel. Apprendre à ralentir, à se concentrer sur les sensations plutôt que sur les pensées, est un premier pas. Les exercices de respiration, de pleine conscience ou simplement l’attention au toucher aident à se reconnecter.Lancer la dynamique, même imparfaitement.
Parfois, attendre « le bon moment » empêche tout rapprochement. Oser initier un geste, même maladroit, permet de réinstaller une dynamique. L’humour est un allié précieux : il allège la tension et favorise la complicité.Continuer régulièrement une fois le premier pas franchi.
Le plus difficile est souvent de « relancer la machine ». Mais une fois l’intimité retrouvée, la régularité renforce naturellement le désir et empêche que la baisse de libido ne s’installe durablement.Ne pas attendre des semaines en cas de déception.
Si un rapport n’a pas été satisfaisant, mieux vaut recommencer rapidement plutôt que de laisser s’installer une distance. Les cinq premières fois peuvent parfois sembler maladroites — et c’est normal. L’important est de ne pas céder à la pression de « faire parfait », mais d’y revenir avec légèreté.
Et si on a honte de commencer ?
Beaucoup de couples bloquent non pas sur l’envie, mais sur l’initiation. Comment « casser la glace » quand on ressent un manque de désir sexuel ?
Voici quelques gestes simples pour réactiver l’intimité sans pression :
s’asseoir en califourchon sur lui, sans mot dire,
la prendre dans vos bras ou l’installer sur vos genoux,
passer la main dans les cheveux,
effleurer le visage avec les doigts,
initier un massage léger,
proposer une douche ou un bain à deux.
Un plan en quatre étapes peut aider :
Prendre un rendez-vous amoureux,
Faire un premier geste accessible,
Réitérer ces gestes plusieurs fois,
Répéter sur quelques jours pour réactiver la connexion.
Utiliser des outils de sexothérapie
Certains exercices simples peuvent soutenir la reprise de la sexualité et contrer une baisse de désir persistante :
La focalisation sensorielle : caresses et massages sans attente de pénétration, pour redécouvrir le plaisir du contact.
Varier les scénarios : changer de lieu, d’ambiance, introduire un élément nouveau (lingerie, jeu érotique, fantaisie).
Travailler les blocages : si l’anxiété, la culpabilité ou la fatigue freinent l’envie, une thérapie de couple peut aider à identifier et dépasser ces freins.
Reconnecter émotionnellement
Le désir sexuel est nourri par la complicité et la tendresse. Partager des rires, exprimer de la gratitude, multiplier les gestes d’affection, tout cela prépare le terrain à l’intimité physique.
Les « langages de l’amour » (mots, gestes, services, temps partagé, cadeaux) sont également un levier puissant. Plus vous vous sentez aimé·e au quotidien, plus il est facile de contrer une diminution du désir sexuel et de laisser la place à une intimité épanouissante.
👉 Objectif réaliste : commencez par viser un rapport hebdomadaire de manière régulière. Cette stabilité permettra à la complicité de grandir naturellement, et la fréquence pourra augmenter avec le temps, réduisant ainsi le manque de désir sexuel.

Comment planifier une relation intime de façon respectueuse
La planification ne doit jamais être perçue comme une contrainte, mais comme une manière douce de préserver l’espace du couple dans un quotidien chargé. Bien utilisée, elle peut devenir un outil précieux pour prévenir la baisse de désir. L’important est de poser les choses avec respect et authenticité.
1. Comment aborder le sujet
Choisissez un moment calme et proposez avec simplicité :
« Et si on bloquait un moment pour nous, juste pour nous retrouver ? »
« J’aimerais vraiment que nous ayons un rendez-vous intime régulier, qu’en penses-tu ? »
Cela peut prendre la forme d’un vrai rendez-vous amoureux : un dîner, un film dans la chambre, une nuit d’hôtel, ou même un camping l’été. L’essentiel est d’être ensemble, sans interruption, pour créer l’opportunité.
2. Casser la glace et installer la détente
Pour certains, allumer une bougie ou mettre de la musique aide ; pour d’autres, cela peut sembler artificiel. L’important est de rester naturel. Multiplier les rendez-vous amoureux augmente les chances que l’intimité reprenne son cours et qu’un manque de libido ne s’installe pas.
Un petit message suggestif dans la journée peut aussi préparer le terrain. Pour les plus jeunes, cela peut passer par l’envoi d’un « reel » humoristique ou séduisant. Ce qui compte, c’est de commencer par un geste accessible et spontané : un baiser prolongé, une douche partagée, un massage.
3. Faire naître le désir « sur le moment »
Le désir féminin est souvent réactif : il apparaît une fois que l’intimité a commencé. C’est pourquoi il est important de ne pas attendre que l’envie vienne d’elle-même. Comme le rappelle Esther Perel, la magie du désir se situe dans l’équilibre entre sécurité et mystère. Planifier crée un cadre rassurant, mais l’imprévu garde toute sa place dans l’érotisme et permet de contrer une baisse de désir.
Sortir du blocage et de la « friend zone » conjugale
Parfois, malgré l’envie, les couples restent coincés : le rendez-vous est agréable, mais rien ne se passe. Pour éviter ce piège, il est essentiel d’introduire dès le début des micro-gestes physiques : tenir la main, prolonger un baiser, initier un câlin.
La progressivité est la clé : un geste tendre peut en amener un autre, puis installer un moment de peau à peau. L’idée n’est pas de « forcer » mais de rester en mouvement, pour que la complicité ne retombe pas et pour éviter un sentiment de baisse de désir durable.
Beaucoup d’hommes craignent d’initier par peur du rejet. Dans ce cas, la femme peut aussi prendre l’initiative : poser une main sur la cuisse, inviter à aller au lit, ou simplement dire « j’ai envie d’être proche de toi ». L’important est que l’initiative circule, sans être toujours l’un ou l’autre.
Si la femme a du mal à « se mettre dans le bain »
Les recherches montrent que le désir féminin est souvent réactif : il ne faut donc pas attendre d’avoir envie pour commencer, mais accepter de s’engager dans l’intimité avec douceur.
Si le corps ou le mental envoient un « stop », il est nécessaire d’écouter sans juger. Un blocage ponctuel ne signifie pas que « tout est fini ». On peut simplement dire : « J’ai besoin de plus de douceur » ou « Prenons un peu plus de temps ». Cela permet de préserver la continuité affective et d’éviter une spirale de manque de désir sexuel.
Pourquoi agir maintenant ?
Si l’érotisme disparaît trop longtemps du couple, un vide peut s’installer. Ce vide peut parfois laisser la place à une excitation extérieure, qu’elle soit fantasmée ou réelle. Ce n’est pas une menace, mais une réalité humaine : quand la libido est endormie dans le couple, elle peut se réactiver ailleurs.
Mieux vaut donc agir aujourd’hui, par petites étapes, que d’attendre une crise ou carrément une absence désir sexuel.
Conclusion : voici votre plan doux, respectueux et réaliste
L’amitié dans le couple est précieuse. L’intimité sensuelle l’est tout autant.
Le désir ne revient pas tout seul : il se cultive, pas à pas.
Les gestes simples — un rendez-vous, un baiser prolongé, un massage — sont déjà des victoires.
Le désir ne doit pas être attendu avant, mais construit pendant l’intimité.
Plus vous multipliez les opportunités, plus la dynamique du désir se réinstalle et plus il est facile de dépasser une baisse de désir.
Retrouver le désir ne signifie pas revenir à ce qu’il était au début, mais créer une nouvelle intimité adaptée à la maturité de votre couple et à votre vie actuelle.
Je peux vous aider
Si le blocage persiste malgré vos efforts, il n’y a rien d’anormal à cela. Le désir est le résultat de nombreux facteurs : fatigue, stress, histoire personnelle, émotions, communication… Une thérapie de couple peut vous aider à identifier ce qui freine votre désir et à mettre en place des outils concrets pour le réactiver.
Mon approche, basée sur la thérapie de couple, la psychanalyse et la sexothérapie, vise à renforcer votre complicité et à vous donner des moyens pratiques pour avancer.
N’attendez pas que la distance s’installe : je vous propose d’en parler ensemble, dans un cadre bienveillant et respectueux.
Qui est suis-je?
Je suis Fanny Clair, Française vivant au Brésil depuis 2014. Mariée et maman de deux jeunes enfants, je suis psychanalyste spécialisée dans les questions féminines, sexologue et thérapeute de couple.
Au sein de ma pratique, j'associe la psychanalyse et la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) pour offrir un accompagnement efficace.
Par ailleurs, je suis la fondatrice du blog "Savoir Collectif", où je partage des réflexions et des ressources sur le bien-être émotionnel.

Quelques uns de mes ouvrages
Pour aller plus loin, voici quelques références utiles sur le sujet :
The Gottman Institute. Why Friendship Is Important in Marriage. Disponible sur : https://www.gottman.com/blog/why-friendship-matters-in-marriage/
Psychology Today. The Responsive Desire in Women. Disponible sur : https://www.psychologytoday.com/us/articles/202302/the-truth-about-female-sexual-desire-everyone-should-know
Esther Perel. Mating in Captivity: Unlocking Erotic Intelligence. Disponible sur : https://www.estherperel.com/the-books
Amy Muise, Ulrich Schimmack, Emily A. Impett. Sexual Frequency Predicts Greater Well-Being, But More Is Not Always Better. Disponible sur : https://www.researchgate.net/publication/284175688_Sexual_Frequency_Predicts_Greater_Well-Being_But_More_is_Not_Always_Better
What Is Responsive Sexual Desire? ISSM. Disponible sur : https://www.issm.info/sexual-health-qa/what-is-responsive-sexual-desire
Current Directions in Psychological Science. Couples who have sex at least once per week report greater well-being than those who have sex less than once per week. Disponible sur : https://en.wikipedia.org/wiki/Intimate_relationship
Vous cherchez à en savoir plus sur la baisse de désir ?
La baisse de désir est une réalité fréquente dans la vie de couple, surtout après l’arrivée des enfants, la fatigue et la routine. Beaucoup de personnes pensent qu’une baisse de désir signifie la fin de la passion, alors qu’il s’agit souvent d’une phase temporaire. Comprendre les causes de cette baisse de désir et mettre en place des solutions adaptées permet de retrouver une intimité épanouie.
Si vous traversez une baisse de désir, sachez que vous n’êtes pas seul·e. Parler ouvertement de votre baisse de désir dans le couple est déjà une étape essentielle. Ensemble, nous pouvons explorer ce qui entretient cette baisse de désir, apprendre à recréer un climat propice et transformer cette difficulté en une opportunité de croissance relationnelle.